Par deux fois, Nissan a pris de vitesse ses concurrents. Avec le Murano, premier 'SUV premium” avant la lettre, puis avec le Qashqai, 'crossover” à la fois break et SUV. L'inédite Juke qui déboule en octobre s'inscrit dans cette mouvance, mais sous une longueur de citadine. Elle s'immisce dans cette catégorie tout en se donnant des airs de SUV, pour se ranger parmi les réalisations atypiques pas forcément comparables, Citroën DS3, Alfa Mito, Mini, etc.
La Juke cultive par conséquent en priorité son allure, avec des volumes caractéristiques de Nissan, sans ressembler à rien de connu.
Bonne habitabilité
A l'intérieur, la Juke affiche une forte personnalité avec certains détails directement inspirés de la moto. Comme la casquette du tableau de bord, ou la console centrale laquée rappelant un peu un réservoir de bécane.
A ce stade, l'autre botte secrète pour ravir les propriétaires de Juke est la commande de la climatisation, qui se transforme en aide à la conduite. Trois boutons changent d'affectation pour proposer trois modes de conduite, normal, éco ou sport. Sur ce choix plus radical, les accélérations s'avivent et la direction s'affermit, alors qu'en éco, il se produit exactement l'inverse. Déclinée sous trois exécutions, Visia, Acenta et Tekna, la Juke se signale aussi par une habitabilité fort correcte pour une citadine, avec des places pas trop étriquées à l'arrière. Les espaces de rangement sont présents, mais c'est au niveau du coffre que ça se gâte : pas trop grand, il est surtout dépourvu de tout rebord pour retenir les objets qui rouleraient à l'ouverture du hayon.
Côté technique, la Juke dispose de deux motorisations généralistes, 1.5 dCi 110 ch et 1.6i 117 ch, destinées aux versions à traction avant. En revanche, le 4x4 reçoit un nouveau 1.6 DiG-T avec injection directe et turbo de 190 ch, également décliné en 4x2.
Dans cette définition, la meilleure Juke fait preuve d'un bon potentiel, et reste bien sur la trajectoire souhaitée, sans jamais paraître surmotorisée. Pour autant, la Juke distille une certaine placidité comportementale qui ne laisse pas d'impérissables souvenirs de conduite; y compris pour l'élitiste 4x4. Et puis l'amortissement, du genre sec sur méchant revêtement, ternit à la longue l'aisance des évolutions. Enfin, les 9,9 l./100, vite atteints, incitent à lever le pied. Dans ces conditions, le 1.5 dCi, malgré sa cavalerie plus modeste de 110 ch, ne déçoit vraiment pas.
La Juke cultive par conséquent en priorité son allure, avec des volumes caractéristiques de Nissan, sans ressembler à rien de connu.
Bonne habitabilité
A l'intérieur, la Juke affiche une forte personnalité avec certains détails directement inspirés de la moto. Comme la casquette du tableau de bord, ou la console centrale laquée rappelant un peu un réservoir de bécane.
A ce stade, l'autre botte secrète pour ravir les propriétaires de Juke est la commande de la climatisation, qui se transforme en aide à la conduite. Trois boutons changent d'affectation pour proposer trois modes de conduite, normal, éco ou sport. Sur ce choix plus radical, les accélérations s'avivent et la direction s'affermit, alors qu'en éco, il se produit exactement l'inverse. Déclinée sous trois exécutions, Visia, Acenta et Tekna, la Juke se signale aussi par une habitabilité fort correcte pour une citadine, avec des places pas trop étriquées à l'arrière. Les espaces de rangement sont présents, mais c'est au niveau du coffre que ça se gâte : pas trop grand, il est surtout dépourvu de tout rebord pour retenir les objets qui rouleraient à l'ouverture du hayon.
Côté technique, la Juke dispose de deux motorisations généralistes, 1.5 dCi 110 ch et 1.6i 117 ch, destinées aux versions à traction avant. En revanche, le 4x4 reçoit un nouveau 1.6 DiG-T avec injection directe et turbo de 190 ch, également décliné en 4x2.
Dans cette définition, la meilleure Juke fait preuve d'un bon potentiel, et reste bien sur la trajectoire souhaitée, sans jamais paraître surmotorisée. Pour autant, la Juke distille une certaine placidité comportementale qui ne laisse pas d'impérissables souvenirs de conduite; y compris pour l'élitiste 4x4. Et puis l'amortissement, du genre sec sur méchant revêtement, ternit à la longue l'aisance des évolutions. Enfin, les 9,9 l./100, vite atteints, incitent à lever le pied. Dans ces conditions, le 1.5 dCi, malgré sa cavalerie plus modeste de 110 ch, ne déçoit vraiment pas.
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