Combien avez-vous aujourd’hui de véhicules ?
Nous pouvons aujourd’hui compter sur 32 véhicules pour aller dans toute la France et parfois, même si c’est un peu moins fréquent aujourd’hui, en Europe. Nous avons également une quarantaine de chauffeurs.
Parmi tous ces véhicules, certains sont électriques. Pourquoi avoir misé dessus ?
Il y a bientôt deux ans, nous avons acquis notre premier véhicule électrique, un Brandt. Puis nous en avons acheté un deuxième quelques mois après. Lors des appels d’offre, on nous demandait ce que nous allions faire pour l’environnement. Nous nous sommes donc lancés dans le véhicule électrique.
Quels avantages présentent ces véhicules pour une entreprise comme la vôtre ?
Ils prennent vraiment peu de place, se faufilent partout et ne font pas de bruit. Pour livrer en centre-ville de Rouen, c’est l’idéal, nous ne bouchons pas les rues. Une journée de travail dans Rouen représente 100 km au maximum, pas besoin de recharger le véhicule, il tient la journée. Enfin, un véhicule électrique n’entraîne presque aucun frais si ce n’est les freins et les pneus.
Quels en sont les inconvénients ?
Quand nous livrons chez des personnes âgées, ils n’entendent pas forcément le véhicule arriver car il est très silencieux. Nous aimerions bien les équiper de sonnettes. Et puis le véhicule étant petit, il faut parfois faire des allers-retours pour charger la marchandise. C’est le petit défaut du véhicule électrique.
Comptez-vous acquérir de nouveaux véhicules électriques ?
Non, pas immédiatement. Nous souhaitons plutôt développer et acquérir de nouveaux véhicules fonctionnant au gaz naturel pour véhicules (GNV). Nous en avons actuellement six grâce à un partenariat avec le groupe Martenat.
En quoi sont-ils pratiques et adaptés à votre activité ?
Le GNV est moins polluant et plus silencieux qu’un moteur classique. Par rapport à un véhicule électrique, l’autonomie est légèrement supérieure. Par exemple, un de nos véhicules au GNV fait l’aller-retour à Caen tous les jours. Nous le rechargeons grâce à une pompe achetée pour l’entreprise. S’il y avait davantage de pompes dans l’espace public, nous pourrions en acquérir de nouveaux. Aujourd’hui, il y en a une au Havre, quelques unes à Paris mais aucune, je crois, à Rouen.
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