“A la base, l’idée était de faire de la musique avec des jeunes de ce camp créé en 1964, se souvient Jean-Jacques. Je me suis greffé au projet pour apporter mes connaissances de vidéaste, et nous avons alors réalisé un clip avec les enfants du camp”.
Cette première visite fut suivie d’une seconde en mai dernier. “Cette fois-ci, nous ne souhaitions pas nous contenter d’apporter du poisson à manger, mais bien des cannes à pêche”, se félicite Khalifa. Une caméra, un ordinateur, un micro et un logiciel de montage ont ainsi été remis à trois éducateurs du camp. Si Khalifa n’a pu participer à ces échanges, renvoyé en France par les autorités israéliennes à son arrivée à Tel Aviv, Jean-Jacques a, lui, pu participer à la formation des jeunes sur place. “Qu’il s’agisse de fiction ou de documentaires, le matériel doit être utilisé !” Un blog doit prochainement rassembler les travaux réalisés là-bas.
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