Fruit d'un concept original et pour l'instant unique, la Wind est un petit coupé-roadster biplace qui s'inscrit dans la gamme Renault entre la Twingo et la Clio, mais avec des arguments rares : une silhouette de coupé-cabriolet sportif, un bon coffre et des prix plutôt tirés liés à son élaboration sur une base existante.
Personnalité affirmée
Elle n'a aucune peine à aimanter le regard par une personnalité affirmée qui doit beaucoup à une ceinture de caisse haute, des flancs bien dessinés et une poupe traitée à la manière d'une barquette de compétition. Et puis il y a de l'astuce dans la Wind, à l'instar du petit toit rigide et léger en matière synthétique, qui se range dans le coffre en pivotant simplement sur son extrémité arrière, électriquement et en 12 secondes seulement.
Stricte 2 places, la Wind se présente avec un cockpit assez exigu qui reste dans cette ambiance empreinte de sportivité. De qualité satisfaisante, la planche de bord est spécifique et se signale par une instrumentation circulaire surmontée d'une casquette en matière plastique transparente, anthracite ou rouge, inspirée par l'univers de la moto.
Correctement équipée avec clim manuelle et pédalier en alu dès la version d'accès Dynamique, la Wind s'enrichit encore en Exception. Mais au lancement, une série spéciale Collection, limitée à 300 exemplaires, ajoute tous les accessoires disponibles. Côté technique, la Wind repose sur les bases de la plate-forme “B” de l'Alliance Renault-Nissan. Et s'il y a bien de la Twingo dedans, les trains de roulement sont issus de la Clio 2 RS, avec train avant pseudo McPherson et bras inférieur en aluminium, et grosses barres antiroulis. Lois d'amortissement et paramétrage de la direction électrique ont été accordés au poids plutôt modeste de l'ensemble.
Enfin, pas de diesel sous le capot, mais deux propulseurs essence connus, sous la forme du 1.2 TCe 100 ch turbo provenant de la Twingo GT, et du 1.6i atmosphérique 133 ch de la fougueuse Twingo RS. Et à l'usage, ce dernier se montre gentiment rageur. Certes, sur une spéciale de rallye, il permet à la Wind d'afficher ses réels talents routiers, avec une légère dérive du train arrière en courbe qui accroît l'agilité comportementale sans ternir la trajectoire. Cela va bien dix minutes, mais en roulant cheveux au vent, pourquoi s'énerver ? Dans tous les cas, la Wind est une vraie voiture plaisir, amusante et sympa.
Personnalité affirmée
Elle n'a aucune peine à aimanter le regard par une personnalité affirmée qui doit beaucoup à une ceinture de caisse haute, des flancs bien dessinés et une poupe traitée à la manière d'une barquette de compétition. Et puis il y a de l'astuce dans la Wind, à l'instar du petit toit rigide et léger en matière synthétique, qui se range dans le coffre en pivotant simplement sur son extrémité arrière, électriquement et en 12 secondes seulement.
Stricte 2 places, la Wind se présente avec un cockpit assez exigu qui reste dans cette ambiance empreinte de sportivité. De qualité satisfaisante, la planche de bord est spécifique et se signale par une instrumentation circulaire surmontée d'une casquette en matière plastique transparente, anthracite ou rouge, inspirée par l'univers de la moto.
Correctement équipée avec clim manuelle et pédalier en alu dès la version d'accès Dynamique, la Wind s'enrichit encore en Exception. Mais au lancement, une série spéciale Collection, limitée à 300 exemplaires, ajoute tous les accessoires disponibles. Côté technique, la Wind repose sur les bases de la plate-forme “B” de l'Alliance Renault-Nissan. Et s'il y a bien de la Twingo dedans, les trains de roulement sont issus de la Clio 2 RS, avec train avant pseudo McPherson et bras inférieur en aluminium, et grosses barres antiroulis. Lois d'amortissement et paramétrage de la direction électrique ont été accordés au poids plutôt modeste de l'ensemble.
Enfin, pas de diesel sous le capot, mais deux propulseurs essence connus, sous la forme du 1.2 TCe 100 ch turbo provenant de la Twingo GT, et du 1.6i atmosphérique 133 ch de la fougueuse Twingo RS. Et à l'usage, ce dernier se montre gentiment rageur. Certes, sur une spéciale de rallye, il permet à la Wind d'afficher ses réels talents routiers, avec une légère dérive du train arrière en courbe qui accroît l'agilité comportementale sans ternir la trajectoire. Cela va bien dix minutes, mais en roulant cheveux au vent, pourquoi s'énerver ? Dans tous les cas, la Wind est une vraie voiture plaisir, amusante et sympa.
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