Si le député Guillaume Bachelay, le président de la Crea Frédéric Sanchez ou encore les présidents de région et de département Nicolas Mayer-Rossignol et Nicolas Rouly saluent le fait qu'une "nouvelle étape commence", ils se montrent tout de même prudents quant à l'avenir du site de 240 hectares. "Nous serons collectivement attentifs à la concrétisation des engagements pris", avertissent-ils.
Ces engagements sont simples : la création rapide de 150 emplois, puis, à plus long terme, de 300 emplois, pour la déconstruction des bâtiments, la dépollution (amiante, nappe phréatique) du site et la reprise d'une activité industrielle. Bolloré pourrait se servir du site de la désormais ancienne raffinerie pour stocker de l'essence et du fioul.
Les entreprises Valgo et Bolloré ont été choisies par le juge-commissaire du tribunal de commerce au détriment du groupe Brownfields et de toutes les autres offres de reprise proposés par les anciens salariés.
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