Lors de l'audience du 8 avril dernier, leur avocat Maître Bougnoux avait plaidé pour une provision de plus de 10 millions d'euros, pour licenciement non légitime, expliquant que, compte tenu de l'évolution de la jurisprudence depuis 3 ans, un groupe comme Fast ne peut plus se restructurer en supprimant une filiale, sans en payer les conséquences.
Mais la demande a été formulée alors que les salariés n'étaient pas encore licenciés. Le tribunal s'est déclaré incompétent.
L'affaire n'est donc pas jugée en référé, mais elle est renvoyée sur le fond. Sans doute pas avant 2015.
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