Les deux offres viennent des groupes Bolloré et Brownfields. Ces deux groupes s'engageraient à faire du site de raffinage un lieu de stockage d'hydrocarbures et à développer de nouvelles activités industrielles et portuaires. Un consortium sélectionné par un juge-commissaire en charge du dossier doit désormais valider ces offres et notamment vérifier les engagements en termes d'emplois. Entre 140 et 180 travailleurs pourraient être créés à très court terme.
L'intersyndicale des Petroplus avait pris les devants et refusé d'emblée l'offre de Bolloré : "Nous refusons de voir la France servir la soupe à un importateur de Bolloré. En faisant cela, le gouvernement sera responsable des 4500 emplois détruits ici." Les Petroplus regrettent que des offres venues de pays émergents - Nigéria, Irak, République Démocratique du Congo - aient été "regardées de haut" par le ministère.
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