Dans le cas soumis en comparution immédiate le vendredi 23 juillet dernier au tribunal correctionnel de Caen, il a innové. Malheureux de la rupture imposée par sa petite amie, il l'inonde de messages ou d'appels téléphoniques. Trois cents au total du 1er juin au 22 juillet !
La jeune victime a porté plainte dès que les demandes de revenir ont fait place à des menaces de mort. A l'audience, le prévenu a juré qu'il n'aurait jamais mis ses menaces à exécution. Il souffrirait de graves troubles de la personnalité selon son psychiatre.
Le tribunal a suivi les recommandations du ministère public en le condamnant à neuf mois de prison, dont six avec un sursis mise à l'épreuve. Il pourra aménager sa peine, mais durant deux ans, il devra se soigner, ne pas détenir d'arme, et ne pas entrer en contact avec sa victime.
La jeune victime a porté plainte dès que les demandes de revenir ont fait place à des menaces de mort. A l'audience, le prévenu a juré qu'il n'aurait jamais mis ses menaces à exécution. Il souffrirait de graves troubles de la personnalité selon son psychiatre.
Le tribunal a suivi les recommandations du ministère public en le condamnant à neuf mois de prison, dont six avec un sursis mise à l'épreuve. Il pourra aménager sa peine, mais durant deux ans, il devra se soigner, ne pas détenir d'arme, et ne pas entrer en contact avec sa victime.
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