C'est une affaire "révélatrice" des cas d'"extrême violence" que doivent souvent affronter les policiers. Selon le patron du Raid, Jean-Michel Fauvergues, qui évoquait le cas d'Alençon, "nos collègues interviennent de plus en plus sur des situations a priori classiques, et se retrouvent face à des gens très déterminés n'hésitant pas à ouvrir le feu."
Selon lui, le Raid a effectué l'an dernier, 99 interventions du type de celle d'Alençon, contre 25 en 2012, soit 4 fois plus.
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