Nous demandons à nous placer sous votre protection et, à travers vous, sous celle des lois de la République, écrivent les dirigeants de GDE au ministre.
Le Figaro rappoorte que, selon GDE, le médiateur veut faire examiner le projet de fermeture du site GDE de Nonant-le-Pin, qui serait remplacé par la création d'un centre équestre. En janvier dernier, la cour d'appel de Caen a ordonné l'expulsion des anti-GDE avec, si nécessaire, le concours de la force publique, rappelle GDE à Philippe Martin.
Depuis octobre, on ne peut pas travailler. Cela suffit. Avec cette affaire, nous adressons un mauvais message aux entreprises étrangères qui veulent s'installer en France, s'insurge Guillaume Dauphin, dont la société doit faire face à bien d'autres ennuis judiciaires.
Dans la lettre au ministre, GDE indique que le préjudice global serait de 80 millions d'euros si le site de l'Orne ne fonctionnait pas pendant 16 ans comme prévu, avec une menace à peine voilée : On n'hésitera pas à réclamer cette somme à l'État devant la justice si nécessaire, précise Guillaume Dauphin.
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