Mais pour réussir en Amérique du Nord, il faut obligatoirement une berline conventionnelle à 4 portes et un coffre bien marqué. D’où ce 4e modèle inédit dans la gamme, que le constructeur introduit aussi chez nous, visa d’accès à l’Europe gagné grâce au remodelage cohérent de toute la partie arrière. L’A3 Berline semblant plus large et plus basse qu’elle ne l’est, tout en restant aux dimensions d’une compacte.
On ne se rend d’ailleurs pas forcément compte que presque tous ses éléments de carrosserie sont nouveaux, y compris les ailes avant, dont les passages de roue sont soulignés en creux, à l’inverse des autres.
Un petit air de coupé
Au final, cette ligne apurée, dynamique et intemporelle aux petits airs de coupé ne reprend, de la série, que les phares, la calandre et les rétroviseurs extérieurs ! Appelée à rivaliser avec les autres marques “premium” germaniques, l’A3 Berline reprend les arguments de son aînée A4 (4,69 m de long), à un – petit – cran en dessous, en ne mesurant que 4,46 m. Mais elle dépasse l’A3 Sportback de 15 cm, augmentant sur cette dernière sa capacité de coffre de 45 litres (pour 425 l. en tout). Habitabilité et confort intérieur sont préservés. La planche de bord est celle des autres A3. Et la ventilation des équipements de série, comme les options, s’organise peu ou prou sur le reste de la gamme, et autour des quatre finitions supérieures.
Tirant profit de la technologie d’allègement du modèle, l’A3 Berline en reprend quatre TFSI essence (122, 140, 180… et même 300 ch pour la sulfureuse S3) et le diesel 2.0 TDI 150 ch (à partir de 31 000 € en Ambiente).
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