C'est une lettre en date du 12 février de la Dréal, la direction régionale de l'environnement, qui l'impose. Cette lettre fait suite à un précédent rapport de la Dréal, du 28 janvier. Il confirme le présence de gros morceaux de pneus, entreposés sur le site ornais, alors que jusqu'ici, la direction régional de l'environnement n'avait vu que des morceaux inférieurs à 200 mm.
Jeudi dernier devant le tribunal de grande instance d'Argentan, GDE avait expliqué que ces gros morceaux de pneus étaient là pour éviter de perforer accidentellement la mebrane des alvéoles de stockage de déchets industriels et automobiles.
Mais ces bouts de pneus n'ont pas à être entreposés à Nonant. Ils sont interdits par l'arrêté de prescription du site, d'où cette décision de l'administration.
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