L'entreprise ne veut pas augmenter les primes de départ des salariés. "Les gens pètent les plombs, ils sont à bout de nerf, ça a dégénéré dans l'usine" nous a expliqué Rédouane Lafère, délégué CGT.
Selon nos informations, l'entreprise a aussi demandé aux salariés d'enlever les autocars qui bloquent les principales entrées du site de production. Faut-il y voir un chantage ? Si les salariés ne s’exécutent pas, l'entreprise considérera qu'ils sont en grève depuis le 6 janvier dernier, avec les conséquences financières que cela impose...
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