Pour la seconde journée, ce jeudi 9 janvier, 181 salariés nt occupé le site de production de l'autocariste Carrier à Alençon. Alors qu'aucun repreneur ne s'est fait connaître et que l'entreprise sera liquidée dans 10 jours, les salariés ont décidé d'arrêter le travail et de ne pas produire la douzaine de bus que voulait leur patron.
Le personnel réclame des primes de départ "supralégales", dignes de ce nom. Mais "il n'y a rien a négocier", explique la direction.
Mickaël Pellerin, délégué CGT :
Seconde journée de blocus sur le site de Carrier à Alençon
D'ici la fin de cette semaine, les syndicats vont faire voter les salariés pour une radicalisation du mouvement à partir de lundi prochain.
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