Les dockers ont alors rapidement réagi, bloquant le poids lourd des activistes avec deux pelleteuses. "Nous avions signalé au ministère de l'Agriculture et des Forêts que ce bois était là depuis plusieurs mois et comme le ministère n'a pas agi, nous avons décidé de le faire", expliquait ce mercredi 8 janvier, Frédéric Amiel, chargé de campagne forêt chez Greenpeace France.
Leur but était d'amener cette preuve concrète de circulation de bois entre l'Afrique et la France, directement au ministère. Un dossier doit être déposé auprès du parquet de Caen pour demander l'ouverture d'une enquête sur cette importation.
Frédéric Amiel de Greenpeace.
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