Cette maladie des petites bronches, qui touche 460 000 enfants de moins de deux ans chaque année, peut être dangereuse si elle n’est pas soignée et entrainer quelques complications pouvant aller jusqu'à l'hospitalisation du nourrisson.
Premiers symptômes
“Le premier signe, c’est le nez qui coule puis la toux”, explique Christophe Lavenu, kinésithérapeute et responsable de la communication du réseau bronchiolite haut-normand, crée il y a dix ans. Bien souvent, c’est à ce moment que les parents décident de consulter. “Parce que l’enfant ne dort plus et par conséquent, eux non plus”.Le médecin envoie alors le bébé chez un kinésithérapeute qui va se charger de désencombrer les petites bronches du nourrisson. Une manipulation impressionante mais non douloureuse selon Christophe Lavenu. “Il est important que le kinésithérapie respiratoire soit expliquée aux parents pour qu’ils comprennent pourquoi on fait cela”. Dans 95% des cas, cinq séances suffisent à soulager le bébé sans qu’une hospitalisation ne soit nécessaire. Le froid qui arrive devrait mettre à mal ce virus, qui survit entre 2 et 10°C.
Pratique. Réseau bronchiolite haut-normand. Tél. 02 35 71 70 82 joignable le samedi, dimanche et jours féries.
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