Yvon Scornet, le porte-parole des salariés en colère, évoque un "mur du silence" du côté de l'Etat qui mettrait des bâtons dans les roues d'une éventuelle reprise. Le syndicaliste CGT assure que la raffinerie Petroplus n'est pas condamnée : "Aujourd'hui, 50 % des produits raffinés sont importés, c'est la preuve qu'il n'y a pas de surcapacité. De plus, nous produisons 40 % du bitume français. Sans nous, l'Etat va en chercher en Allemagne à des prix aberrants."
Enfin, Yvon Scornet assure qu'il y a aujourd'hui trois repreneurs prêts à s'engager : un Angolais, un partenariat Américano-Africano-Européen et un 3e candidat installé en Europe occidentale mais originaire de l'ex-URSS.
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