Ils sont venus de Caen, Saint-Lô, Le Mans, Dives, Coutances, Louviers, Mortagne, Cormelles, Flers, Lisieux, Nogent-le-Rotrou, et d'ailleurs crier contre ce qu'ils estiment être une injustice.
Le tribunal correctionnel d'alençon jugeait une déléguée syndicale, secrétaire de l'Union Locale CGT d'Alençon, accusée d'avoir proféré des "noms d'oiseaux" envers la femme d'un patron, lors d'un conflit social, aux "Ateliers de Beauvais", une petite entreprise de la banlieue d'Alençon.
Une accusation que le syndicat dénonce alors que dans le même temps, "une salariée licenciée de cette entreprise attend toujours l'instruction de sa plainte contre l'épouse du patron, pour violences ayant entraînées une incapacité de travail".
Philippe Brossard, secrétaire départemental du syndicat:
300 personnes devant le Palais de justice d'Alençon pour soutenir une salariée
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