Où en est l'UMP du Calvados ?
Nous sommes à l'achèvement du débat sur les retraites. Nous faisons tout ce qu'il faut pour accompagner le gouvernement dans sa volonté de réforme et être des agents d'explication sur le terrain.
Comment avez-vous vécu les Régionales ?
Une défaite comme celle-ci ne fait jamais de bien. Cela dit, les élections ont eu lieu dans un contexte extrêmement nationalisé. Pour autant, nous n'avons pas échappé à des analyses plus locales.
Quelles sont les perspectives en vue des élections cantonales de mars 2011 ?
L'ambition, c'est que l'UMP prenne toute sa part au maintien de la majorité départementale face à la gauche, voire à son renforcement. Je suis plutôt optimiste car un certain nombre de cantons renouvelables sont tout-à-fait prenables.
Quels sont les sujets d'actualité locale qui vous préoccupent ?
La fin de la gratuité dans les musées de Caen est un exemple du Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais. Philippe Duron, le député-maire socialiste, me semble assez coutumier de ces positions un peu contradictoires. Plutôt que supprimer la mesure de gratuité, il aurait mieux valu s'interroger sur la manière de l'accompagner avec un programme éducatif vis-à-vis des publics les plus éloignés de la culture. Au delà de ce thème, il me semble qu'il y a des sujets importants et stratégiques pour la vie des Caennais sur lesquels on n'avance pas. Il manque un vrai projet territorial à Caen et en Basse-Normandie. Le monde s'organise autour de grandes métropoles et les territoires qui pourront s'y lier auront un avantage. La proximité de Paris est une opportunité pour Caen. D'un point de vue économique, il me semble aussi qu'il n'y a pas de ligne directrice. En témoigne la désorganisation en matière d'équipement commercial à l'échelle de l'agglomération.
Comment expliquez-vous la discrétion médiatique de Brigitte Le Brethon, ex-maire UMP ?
Les personnalités qui sont aujourd'hui dans l'opposition municipale à Caen interviennent font en fonction de leurs possibilités personnelles. Mais les dernières élections municipales ont clairement montré qu'il n'y avait pas d'alternative à l'union. Je pense qu'il faudra dépasser les ego et aboutir à une démarche commune. C'est ce à quoi je m'emploierai.
Incarnerez-vous l'opposition prochainement ?
Je ne crois guère aux personnes providentielles. La vraie force, ce n'est pas d'imposer, c'est de réunir.
Nous sommes à l'achèvement du débat sur les retraites. Nous faisons tout ce qu'il faut pour accompagner le gouvernement dans sa volonté de réforme et être des agents d'explication sur le terrain.
Comment avez-vous vécu les Régionales ?
Une défaite comme celle-ci ne fait jamais de bien. Cela dit, les élections ont eu lieu dans un contexte extrêmement nationalisé. Pour autant, nous n'avons pas échappé à des analyses plus locales.
Quelles sont les perspectives en vue des élections cantonales de mars 2011 ?
L'ambition, c'est que l'UMP prenne toute sa part au maintien de la majorité départementale face à la gauche, voire à son renforcement. Je suis plutôt optimiste car un certain nombre de cantons renouvelables sont tout-à-fait prenables.
Quels sont les sujets d'actualité locale qui vous préoccupent ?
La fin de la gratuité dans les musées de Caen est un exemple du Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais. Philippe Duron, le député-maire socialiste, me semble assez coutumier de ces positions un peu contradictoires. Plutôt que supprimer la mesure de gratuité, il aurait mieux valu s'interroger sur la manière de l'accompagner avec un programme éducatif vis-à-vis des publics les plus éloignés de la culture. Au delà de ce thème, il me semble qu'il y a des sujets importants et stratégiques pour la vie des Caennais sur lesquels on n'avance pas. Il manque un vrai projet territorial à Caen et en Basse-Normandie. Le monde s'organise autour de grandes métropoles et les territoires qui pourront s'y lier auront un avantage. La proximité de Paris est une opportunité pour Caen. D'un point de vue économique, il me semble aussi qu'il n'y a pas de ligne directrice. En témoigne la désorganisation en matière d'équipement commercial à l'échelle de l'agglomération.
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Les personnalités qui sont aujourd'hui dans l'opposition municipale à Caen interviennent font en fonction de leurs possibilités personnelles. Mais les dernières élections municipales ont clairement montré qu'il n'y avait pas d'alternative à l'union. Je pense qu'il faudra dépasser les ego et aboutir à une démarche commune. C'est ce à quoi je m'emploierai.
Incarnerez-vous l'opposition prochainement ?
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