A quelques jours du sacre, la jeune femme se déclare “en pleine forme” et surtout, prête à en découdre pour faire briller la Normandie devant des millions de téléspectateurs. Depuis le 11 novembre dernier, elle ne se consacre d’ailleurs plus qu’à ça. “La préparation est intensive mais je prends beaucoup de plaisir”, assure-t-elle. Avec les 32 autres prétendantes à la couronne, Ophélie Genest s’est notamment envolée pour le Sri Lanka. “Onze heures de vol, cinq heures de bus pour sept jours sur place”, raconte la jeune femme de 19 ans. “Nous avons logé dans deux hôtels. Le premier était vraiment plongé dans la nature... Il y avait des singes et des éléphants autour de nous. C’était vraiment dépaysant. Le second se trouvait près de la capitale, Colombo, au bord de l’océan indien... La vue était spectaculaire. A chaque fois, l’accueil a été chaleureux. C’était émouvant”.
“En profiter le plus possible”
Shooting, défilés, interviews... Ophélie a appris à se prêter au jeu, sans pourtant s’y perdre. Passionnée de danse, étudiante en deuxième année de psychologie, sa tête est de toute évidence restée bien vissée sur ses épaules. “Je suis exigeante avec moi-même, j’aime aller au-delà de mes limites. Gagner ? Pourquoi pas. Mais ce que je veux surtout, c’est en profiter. Ca n’arrive qu’une fois dans une vie de concourir au titre de Miss France. Je veux en profiter le plus possible.”
Derrière les paillettes, cette enfant d’enseignants, membre d’une fratrie de quatre filles, reconnaît quelques passages “difficiles”. “Il y a la pression, le stress... Dans ces moments-là, je pense à ma région, à mes proches. Et je repars de plus belle ! Je veux qu’ils soient fiers !”
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