Lors de la première audience, le ministère public avait requis 500 euros d'amende assortis en partie d'un sursis mais le tribunal avait ordonné un complément d'information auprès de l'organisme certificateur sur les inscriptions devant figurer sur le passeport de l'animal.
L'objectif étant de savoir si l'agriculteur a sciemment trompé, l'agriculteur de Montaigu-les-Bois qui avait porté plainte contre lui, en inscrivant volontairement un mauvais code pour que l'animal soit vendu pour le faire passer pour un veau à viande alors qu'il s'agissait d'un veau laitier.
Quelques jours avant son procès en août, il avait promis qu'en cas de condamnation, il s’enchaînerait à la tour Eiffel.
Il saura donc demain, s'il peut préparer les chaînes ou non...
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.