Ils sont une dizaine, Géorgiens, Mongols et Ukrainiens de 12 à 15 ans, à venir s’installer pour une année consacrée aux études et au judo au sein d’une institution unique en Europe.
Choc des cultures
“L’idée nous est venue à partir d’un constat : le club a toujours été ouvert sur l’international et cela profite à nos judokas. Nous avons voulu officialiser cette ouverture”, explique Paco Legrand, directeur technique de l’école.
Logés dans des familles d’adhérents du club quevillais, les jeunes sportifs se sont vite intégré malgré le choc de culture. “Au collège, nos élèves mongols ont eu des problèmes car chez eux, on pratique la lutte comme ici on pratique le football”, s’amuse Paco Legrand. Or, ces différences font justement l’intérêt de cette école. “Les étudiants étrangers bénéficient d’un apprentissage technique propre au judo français tandis que les Français prennent exemple sur la maturité et le travail intense de leurs camarades.”
L’école espère profiter de l’aura du frère de Paco Legrand, Ugo, médaillé olympique et médaille d'argent aux derniers championnats du monde, pour acquérir une carrure internationale.
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