L'après-midi avait bien commencé sous le marteau de Maître Bailleul avec une toile du XVIIIe siècle signée d’Hubert Robert, adjugée 180 000 € avant de se voir dépasser par une autre toile, peinte quant à elle par Georges Valmier estimée entre 60 000 € et 80 000 € et adjugée 200 000 €.
Mais qui aurait imaginé que le clou du spectacle serait un paravent. Pas n'importe lequel évidemment, le lot 161 de cette vente aux enchères bayeuxaine était un paravent chinois du XIXe siècle dont voici la description tel qu'elle était écrite dans le catalogue de la vente.
BEAU PARAVENT à huit feuilles en bois de patine sombre sculpté et peint, chaque feuille comprenant trois plaques en émaux cloisonnés polychromes sur fond bleu à décor de rinceaux et motifs auspicieux stylisés, alternant, en partie médiane, avec un grand panneau en bois orné, sur une face, de fleurs, oiseaux et papillons en ivoire polychrome appliqué sur un fond bleu lapis, le revers en bois naturel incisé de chauve-souris, animaux fantastiques et motifs stylisés, et en partie basse, avec un panneau en bois naturel patiné, sculpté en relief de vases fleuris et objets mobiliers. Chine XIXe 200 x 42.5 cm (par feuille).
Estimé entre 10 et 12 000 Euros, il a été adjugé à 465 000 €.
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