Ils souhaitaient manifester leur colère. Celle-ci repose sur trois motifs de crainte et de réprobation : "d'une part, la période de crise ne favorise pas les dépenses de loisirs. D'autre part, le retour à l'école le mercredi matin modifie aussi l'activité des clubs d'équitation. Enfin, l'annonce de la hausse de la TVA de 7 à 20 %, liée à l'application d'une directive européenne, est très pénalisante et renforce un peu plus le risque d'un déséquilibre financier qui peut aboutir à la fermeture de nombreuses structures privées ou associatives dans la région".
Les professionnels de la filière équestre estiment que 2 000 centres sur les 7 000 existant en France pourraient disparaître.
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