Ce ministère veut leur supprimer la possibilité de vendre certains antibiotiques. Ils n'auront plus que le droit de les prescrire et ce sera à l'agriculteur d'aller les acheter à la pharmacie, ce qui ne simplifie pas vraiment le travail, quand on est dans une ferme isolée dans la campagne. Gérard Grandsire, président du syndicat départemental des vétérinaires libéraux de l'Orne:
Les vétérinaires ornais en colère
Les vétérinaires ornais en colère
Cette mesure va aussi faire chuter le chiffre d'affaires des vétérinaires, qui prennent leur marge sur les médicaments qu'ils vendent.
On dénombre quelque 165 vétérinaires libéraux dans l'Orne, et plus de 80 Ornais sont du voyage, ce mercredi, à Paris.
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