Les quelques pages ont été écrites par un clerc de notaire, en 1838. Perdues dans un registre de notaires du 17e siècle, elles décrivent le quotidien de son auteur, du contexte politique à ses habits. Découvertes par hasard lors d'une recherche généalogique, ces notes ont aujourd'hui une tonalité toute particulière.
Louis-Sébastien Jacquel-Blanc a recueilli le récit de Julie Deslondes, la directrice des archives départementales où a été retrouvé le manuscrit :
Un vieux manuscrit de 1838 retrouvé s'adresse aux générations futures
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