"On peut comprendre la mesure en cette période budgétaire, mais la rétroactivité est insupportable", estime la parlementaire ornaise.
"Cette rétroactivité est admise en droit fiscal, mais je continue à soutenir qu'elle est créatrice d'injustice et surtout d'instabilité juridique, ce qui est la dernière chose dont les épargnants et les investisseurs ont besoin", précise-t-elle.
Nathalie Goulet conclut : "Je suis totalement allergique à la rétroactivité du droit en général et du droit fiscal en particulier, je ne voterai pas cette disposition".
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