Le bras de fer entre le représentant de l'Etat et les anciens salariés de la raffinerie toujours actifs dans la recherche d'un éventuel repreneur se poursuit. Alors qu'Yvon Scornet, l'ancien porte-parole de l'intersyndicale, répète que les candidats à la reprise existent, le préfet Pierre-Henry Maccioni a réaffirmé le contraire. Ses services se concentrent désormais sur le "repositionnement industriel" du site de Petit-Couronne, à savoir l'installation de nouvelles industries sur les 240 hectares aujourd'hui en sommeil.
"Plus de 600 entreprises ont été approchées en France et à l’étranger, grâce au réseau de l’Agence française pour les investissements internationaux, aux services de l’État, et aux collectivités. A ce stade, 3 projets industriels réalistes ont été identifiés", expliquent les services de l'Etat. Il s'agirait de projets "d'usine de chimie verte" produisant des bio-plastiques, d'une strat-up technologique dans le domaine du traitement des effluents liquides et d'une unité de production de diesel à partir de plastiques usagés.
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