Le projet, porté par l’université de Rouen, a été révélé fin septembre par Cafer Ozkul, son président, qui n’attend que l’avis favorable de la Commission des titres d’ingénieur (CTI) du ministère de l’Enseignement supérieur. La décision finale interviendra dans la foulée.
Dénommée ESITech, la future école préparerait à cinq diplômes, dans les domaines de l’ingéniérie physique et les biotechnologies du vivant. Ce projet, “mûri depuis plusieurs années” selon la direction de l’Université de Rouen, doit répondre “à l’évolution du monde socio-économique et aux innovations qu’elle demande”. Cafer Ozkul table sur 80 étudiants dès la première année, et des ponts entre la nouvelle structure et l’INSA, l’Esigelec et l’EFR des Sciences et techniques.
Une "licence Santé"
Par ailleurs, l’université aimerait également innover en créant prochainement une "licence Santé", débouchant sur des masters, “qui donnerait à ses meilleurs éléments la possibilité d’intégrer une deuxième année d’études de médecine, pharmacie, maïeutique ou odontologie”.
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