“La tarification est plutôt à la hausse alors que dans le même temps, les parcelles sont de plus en plus petites”, observe Chrystel Lehoux, responsable commerciale chez JRF, à Epron. “Du coup, la politique est plutôt à la construction verticale qu’horizontale”, poursuit-elle.
Rien à moins de 50 000€
A proximité de Caen, impossible de trouver un lopin de terre, même modeste, à moins de 50 000€. “A ce prix, j’ai 500m2 à Moult. Mais ce n’est pas la porte à côté ! Plus près de Caen, j’ai en ce moment une parcelle à 66 000 €, hors frais. C’est à Fleury-sur-Orne. Mais elle mesure 253 m2”. Ces petites surfaces conviennent aux primo-accédants mais ne satisfont pas le marché de la seconde accession. “Des retraités qui veulent du plain-pied vont plutôt rénover ou faire une extension sur le terrain où se trouve déjà leur maison plutôt que de vendre et de faire reconstruire sur plus petit”. Quelques villes dans la région caennaise, qui se sont développées plus lentement que leurs voisines, possèdent toutefois encore une réserve foncière importante : “Périers-sur-le-Dan, Anisy ou Villons les Buissons par exemple”.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.