Ce jour-là et après une séparation difficile, l'accusé s'était rendu armé d'un fusil au domicile de sa fille. Aucun coup de feu n'avait finalement été tiré, malgré la présence de trois cartouches dans le fusil.
Le substitut, qui affirme que le sexagénaire était bien venu pour tuer, a requis, jeudi 26 septembre, 7 ans de prison.
L'accusé affirme de son côté qu'il avait l'intention de se suicider devant sa femme. Place ce vendredi à la plaidoirie de son avocat.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.