"Ce qu'on me reproche, c'est d'avoir répondu aux questions des journalistes. C'est un débat de fond", explique-t-il Philippe Lailler à l'issue de l'audience. "Si la vente de médicaments en ligne est autorisée aujourd'hui en France, c'est grâce à moi", a t-il aussi rappelé.
Le pharmacien caennais comparaissait devant six confrères et un juge professionnel. Ceux-ci pourraient prononcer à son encontre un avertissement, un blâme, une interdiction temporaire ou définitive d'exercer.
Le Conseil régional de l'ordre des pharmaciens doit rendre sa décision sous une quinzaine de jours.
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