La génération prometteuse du début des années 2000, emmenée par Tony Parker, aura donc dû attendre une dizaine d'années pour s'offrir une couronne continentale. Ce succès a témoigné de l'abnégation de certains joueurs. Cette fidélité au maillot bleu n'est pas s'en émouvoir Yvan Mainini, aujourd'hui président de la Fédération internationale de Basket. "Je suis très heureux pour eux. De voir des jeunes qui ont cette culture (de fidélité) - et je crois que ce n'est pas exempt du fait qu'ils soient passés par le centre fédéral pour beaucoup - c'est une très bonne chose. Quand je vois Nicolas Batum que j'ai connu tout bébé, je me dis que c'est quelque chose d'extraordinaire de le voir au niveau auquel il était hier".
Le basket normand à l'honneur en finale de l'Euro 2013
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