Nous avions quitté l’an dernier le Professeur Khombol dans le Pacifique : il nous propose aujourd’hui de suivre les traces des explorateurs des plus hautes cimes du monde. Ce savant fou virtuel, depuis un chalet extérieur, invite à la découverte de l’Himalaya et à la chasse du fameux yéti.
Qui sait situer le Népal ? Pour que tout le monde parte sur un pied d’égalité, c’est avec une grande carte satellite que les portes du temple s’ouvrent sur cette nouvelle exposition. Quelques pas de plus et nous entrons dans une salle mystérieuse : au centre, un bassin, au dessus duquel pendent quantité de cloches. Elle est consacrée à la ferveur religieuse des populations de la région, très portée sur la spiritualité et la réflexion. On y découvre ces pièces curieuses, des "moulins à prières", à faire tourner sur son passage pour mieux répandre dans l’air les pensées qu’il contiennent.
C’est ensuite tout le Népal qui s’offre à travers les photographies de Stéphane Dévé, parti en janvier dernier "shooter" la quintessence du Népal, ses paysages et la vie quotidienne de ses habitants. Plus loin, celles de Priscilla Telmon permettent d’apprécier toute la diversité locale.
Il est dans ce pays un village nommé Bungamati. L’espace suivant est consacré au bois et à sa sculpture, spécialité de la localité. Puis,avant de visiter la capitale Katmandou et son aura hippie, il est temps de grimper sur les hauteurs. Ici, le camp de base et ses drapeaux flottant. Toujours pas de traces du yéti... Là-bas, le drapeau français flotte sur le toit du monde. C’est toute l’histoire des explorateurs des cimes qui nous est contée, récits glaçants ou héroïques. En altitude, l’oxygène manque. Le salon de thé est alors bienvenu pour reprendre ses esprits.
Nous avions quitté l’an dernier le Professeur Khombol dans le Pacifique : il nous propose aujourd’hui de suivre les traces des explorateurs des plus hautes cimes du monde. Ce savant fou virtuel, depuis un chalet extérieur, invite à la découverte de l’Himalaya et à la chasse du fameux yéti.
Qui sait situer le Népal ? Pour que tout le monde parte sur un pied d’égalité, c’est avec une grande carte satellite que les portes du temple s’ouvrent sur cette nouvelle exposition. Quelques pas de plus et nous entrons dans une salle mystérieuse : au centre, un bassin, au dessus duquel pendent quantité de cloches. Elle est consacrée à la ferveur religieuse des populations de la région, très portée sur la spiritualité et la réflexion. On y découvre ces pièces curieuses, des "moulins à prières", à faire tourner sur son passage pour mieux répandre dans l’air les pensées qu’il contiennent. C’est ensuite tout le Népal qui s’offre à travers les photographies de Stéphane Dévé, parti en janvier dernier "shooter" la quintessence du Népal, ses paysages et la vie quotidienne de ses habitants. Plus loin, celles de Priscilla Telmon permettent d’apprécier toute la diversité locale.
Glaçant et héroïque
Il est dans ce pays un village nommé Bungamati. L’espace suivant est consacré au bois et à sa sculpture, spécialité de la localité. Puis,avant de visiter la capitale Katmandou et son aura hippie, il est temps de grimper sur les hauteurs. Ici, le camp de base et ses drapeaux flottant. Toujours pas de traces du yéti... Là-bas, le drapeau français flotte sur le toit du monde. C’est toute l’histoire des explorateurs des cimes qui nous est contée, récits glaçants ou héroïques. En altitude, l’oxygène manque. Le salon de thé est alors bienvenu pour reprendre ses esprits.
Foire de Caen : la visite de l'exposition en avant-première
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