Le but des collectes est simple : il permet d’éviter les accidents domestiques, la pollution des eaux et de la terre.
Parmi les médicaments à rapporter de manière systématique aux officines lorsque le traitement est terminé, il y a les sirops. S’ajoutent tous ceux qui peuvent s’oxyder et ceux devant rester stériles comme les collyres. A noter que les collectes opérées par l’organisme Cyclamed n’incluent pas les déchets de soin. Eux suivent un autre circuit.
Ils seront incinérés
Contrairement aux idées reçues, les médicaments sont tous brulés et recyclés en énergie. Ils ne sont jamais destinés à des actions humanitaires. “C’est illégal. L’objet humanitaire passe par un autre circuit déclaré et contrôlé pour assurer la sécurité des personnes qui utiliseront les cachets reçus”, insiste Catherine Wolf.
Quant à ceux qui souhaitent les conserver, elle les invite à garder un oeil très vigilant sur les dates limites de péremption avant de se soigner par automédication.
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