Parmi eux, il y a Michel Jacob, le président de l’association Tangoémoi, qui fêtera ses dix ans à la fin de l’année. "Nous proposons des cours le lundi soir avec deux professeurs venus de Paris, et le mercredi, nous nous retrouvons, sans professeur, pour répéter les pas de danse que nous avons appris", commente ce passionné de tango argentin. Avant de poursuivre : "Le tango est une danse de couple qui s’apprend à deux. Notre but est de pratiquer de manière régulière pour s’affranchir des pas de base".
Carle tango argentin n’est pas le même que le tango de salon : "le second est chorégraphié, il y a des figures. Le tango argentin, c’est de l’improvisation. Un cavalier ne dansera pas un même tango selon son humeur ou sa partenaire", explique Michel Jacob.
Après les cours et les répétitions, le premier vendredi de chaque mois, c’est le Café Noir à Rouen qui fait danser les passionnés sur des chansons des années 1925 à 1940, appelées l’âge d’or du tango. "Nous dansons entre nous et avons décidé de montrer notre tango dans la ville", argumente le président de l’association. Sur place, contre une consommation de courtoisie, chacun peut venir admirer les danseurs et même participer à trois minutes, ou plus, de bonheur. "Quand on est accro de tango, on ne peut plus se passer de danser".
Pratique. Le petit bal mensuel a lieu ce vendredi 6 septembre, à partir de 20h30, au Café Noir, 28 rue de la République.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.