Généralement de passage pour une ou deux nuits, les touristes peuvent en profiter pour découvrir les évènements locaux, mais “ils ne nous disent pas systématiquement les raisons de leur venue”, explique Brigitte Boizot, directrice de l’auberge. “En juin, c’était pour l’Armada, le reste du temps, peut-être pour les plages du Débarquement et autres curiosités régionales”. Constat encouageant : les voyageurs se sont montrés plus nombreux cette année.
Une halte sur le chemin des vacances
48% des clients français y ont logé en juillet, contre 52% d’étrangers. Mais seulements 38% en août. “Je pense qu’ils vont dans le Sud de la France. Pour les étrangers, Rouen correspond à une étape dans leur périple”, argumente la directrice. “D’autant que pour beaucoup d’étrangers, les auberges demeurent un bon souvenir d’expériences passées, donc ils y retournent en famille. Ils trouvent l’endroit convivial, agréable pour les vacances”.
Au mois de septembre, les touristes laisseront leurs places aux étudiants en mal de logement.
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