Cet établissement voué à l'accueil des sans-abri et des personnes sur le 'chemin du droit commun” prend la relève de l'Accueil de nuit de Mondeville. Le projet répondait à un besoin urgent en matière de qualité d'accueil pour les personnes en difficulté, explique Olivier Marot, directeur d'Adoma, bailleur social ayant financé en partie les nouveaux locaux.
Logement stable durant un an
Meilleure qualité, car le Village de la Côtonnière propose deux services d'accueil : un petit bâtiment abritant un service d'urgence pour la nuit, de 18 h à 9 h du matin ; et un service dit de stabilisation. L'objectif de cet accueil est de permettre à des personnes ayant déjà été sans domicile fixe de se reloger plus durablement. Les habitations prennent la forme de petits chalets. Ils sont au nombre de sept et peuvent recevoir au total 28 bénéficiaires.
Depuis son ouverture le 22 mars dernier, ce service affiche complet. Les habitants de ces résidences ont, en contrepartie, une règle à respecter. Ils ne pourront loger au Village qu'une seule année.
Le but est de réinsérer nos résidents dans le circuit du logement autonome, pas de les garder indéfiniment dans nos logements, précise Nathalie Charles, directrice du site. Le service d'hébergement d'urgence, lui non plus, ne désemplit pas depuis sa première nuit d'ouverture, le 9 avril dernier. L'hiver, nous devrons certainement refuser du monde, prévoit Nathalie Charles. Le centre peut accueillir 22 personnes réparties en 18 chambres. Les couples peuvent bénéficier d'une chambre double. Autre atout de taille, les compagnons canins sont acceptés.
Adoma a déboursé 2,8 millions d'euros pour la construction de ce nouvel ensemble qui est sorti de terre en sept mois. Un record. Le Conseil régional y a ajouté 800 000 euros. La dotation allouée par l'État pour le fonctionnement de cette institution est de 713 000 euros par an.
Logement stable durant un an
Meilleure qualité, car le Village de la Côtonnière propose deux services d'accueil : un petit bâtiment abritant un service d'urgence pour la nuit, de 18 h à 9 h du matin ; et un service dit de stabilisation. L'objectif de cet accueil est de permettre à des personnes ayant déjà été sans domicile fixe de se reloger plus durablement. Les habitations prennent la forme de petits chalets. Ils sont au nombre de sept et peuvent recevoir au total 28 bénéficiaires.
Depuis son ouverture le 22 mars dernier, ce service affiche complet. Les habitants de ces résidences ont, en contrepartie, une règle à respecter. Ils ne pourront loger au Village qu'une seule année.
Le but est de réinsérer nos résidents dans le circuit du logement autonome, pas de les garder indéfiniment dans nos logements, précise Nathalie Charles, directrice du site. Le service d'hébergement d'urgence, lui non plus, ne désemplit pas depuis sa première nuit d'ouverture, le 9 avril dernier. L'hiver, nous devrons certainement refuser du monde, prévoit Nathalie Charles. Le centre peut accueillir 22 personnes réparties en 18 chambres. Les couples peuvent bénéficier d'une chambre double. Autre atout de taille, les compagnons canins sont acceptés.
Adoma a déboursé 2,8 millions d'euros pour la construction de ce nouvel ensemble qui est sorti de terre en sept mois. Un record. Le Conseil régional y a ajouté 800 000 euros. La dotation allouée par l'État pour le fonctionnement de cette institution est de 713 000 euros par an.
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