Cette saison, le Top 10 arborera un nouveau visage loin de ravir ses actrices. Le championnat sera divisé en deux poules de cinq équipes, qui s'affronteront jusqu'au mois de décembre. La suite de la compétition sera réservée aux phases finales, d'où un total de matchs très faible. “Ces changements ont été décidés en cette année de Coupe du Monde, explique l'internationale Sandra Rabier. Il s'agissait visiblement de mettre cela en place afin d'alléger le temps de jeu des internationales et de permettre plus de rassemblements. Mais cela va à l'encontre du développement du rugby féminin puisque la saison peut être terminée, pour certaines (la dernière de chaque poule à l'issue des matchs de poule) en décembre.”
A priori, l'Ovalie Caennaise ne risque pas de se retrouver dans ce mauvais wagon, elle qui reste sur une demi-finale en championnat de France. Malgré quatre départs, dont ceux d'Annabelle Monget et de Natacha Sobolak, les Caennaises seront encore attendues. L'arrivée d'une internationale belge devrait leur offrir quelques possibilités supplémentaires, notamment dans le jeu au pied.
Fidèle à ses habitudes, Caen visera le carré final du championnat. Avec le secret espoir de faire mieux que la saison dernière, où Montpellier avait stoppé son parcours.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.