Un accueil de jour de dix places, ouvert en 2011, est ainsi réservé aux personnes malades dont le stade n’est pas encore avancé. Celles-ci peuvent participer à des activités et des ateliers de mémoire destinés à retarder au maximum l’évolution de la maladie. "Cela permet également de soulager les aidants, eux-mêmes parfois âgés ou épuisés", précise Alexandre Mari, attaché de direction.
En complément de l’accueil de jour, la Filandière propose un service de soins infirmiers à domicile et s’appuie sur une équipe pluridisciplinaire. Lorsque la maladie atteint un stade plus avancé, l’unité psycho-gériatrique, composée de 24 lits, prend alors le relais.
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