Suivre une alimentation équilibrée et faire des économies sur son budget nourriture peuvent encore se conjuguer au présent. C'est tout le sens de la démarche de l'Institut régional du travail social (IRTS) en partenariat avec les Jardins des Savoirs, situés au Londel, à Biéville-Beuville, près de Caen. Il s'agit de permettre à chacun de cultiver fruits et légumes pour sa propre consommation.
Micro-potagers
Nous voulons participer à une nouvelle démarche alimentaire dans l'agglomération, explique Marie-Thérèse Savigny, formatrice et chercheuse à l'IRTS. Les enjeux sont de taille. Caen est une ville pouvant mêler les atouts de l'urbanisation et du monde rural. Et certains acteurs sociaux l'ont bien compris. L'IRTS va mettre en place un projet dénommé les Jardins de la Palabre. Objectif : apprendre à 10 personnes, âgées de 27 ans en moyenne, à cultiver leur propre potager. La petite parcelle de terre mesurera un m2 et sera productive quinze jours après les premières plantations. Les fruits et légumes de saison seront évidemment à l'honneur. Se destinant à un emploi social, les jardiniers en herbe alterneront les types de graines de manière à obtenir une productivité maximale sur leur petit carré.
En parlant aux plus jeunes, on s'aperçoit qu'ils ne savent plus ce que sont les légumes. Certains sont étonnés d'apprendre qu'une tomate ne pousse pas sur un arbre, affirme Jean-Manuel Nascimento, un des responsables des Jardins des Savoirs. En faisant un bilan avec eux, les animateurs du projet montre qu'en adoptant une alimentation plus saine et en produisant ses propres légumes, des économies sont réalisables. Nous intervenons dans des quartiers où les revenus ne sont pas très élevés, insiste Gloria Innanes, animatrice sociale au Calvaire-Saint-Pierre. Pour Marie-Thérèse Savigny, les jardins carrés pourraient être généralisés dans l'agglomération, à l'heure où les consommateurs s'intéressent à la provenance des produits et aux transports qu'ils engendrent.
Micro-potagers
Nous voulons participer à une nouvelle démarche alimentaire dans l'agglomération, explique Marie-Thérèse Savigny, formatrice et chercheuse à l'IRTS. Les enjeux sont de taille. Caen est une ville pouvant mêler les atouts de l'urbanisation et du monde rural. Et certains acteurs sociaux l'ont bien compris. L'IRTS va mettre en place un projet dénommé les Jardins de la Palabre. Objectif : apprendre à 10 personnes, âgées de 27 ans en moyenne, à cultiver leur propre potager. La petite parcelle de terre mesurera un m2 et sera productive quinze jours après les premières plantations. Les fruits et légumes de saison seront évidemment à l'honneur. Se destinant à un emploi social, les jardiniers en herbe alterneront les types de graines de manière à obtenir une productivité maximale sur leur petit carré.
En parlant aux plus jeunes, on s'aperçoit qu'ils ne savent plus ce que sont les légumes. Certains sont étonnés d'apprendre qu'une tomate ne pousse pas sur un arbre, affirme Jean-Manuel Nascimento, un des responsables des Jardins des Savoirs. En faisant un bilan avec eux, les animateurs du projet montre qu'en adoptant une alimentation plus saine et en produisant ses propres légumes, des économies sont réalisables. Nous intervenons dans des quartiers où les revenus ne sont pas très élevés, insiste Gloria Innanes, animatrice sociale au Calvaire-Saint-Pierre. Pour Marie-Thérèse Savigny, les jardins carrés pourraient être généralisés dans l'agglomération, à l'heure où les consommateurs s'intéressent à la provenance des produits et aux transports qu'ils engendrent.
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