Celle-ci lui a proposé un paiement en deux fois, et lui a versé 500 euros, plus une somme pour poser de la moquette à l’intérieur. Entre les deux versements, il avait convenu de passer le contrôle technique obligatoire. Le 17 juin dernier, la prostituée et lui embarquent en direction d’un centre automobile. En chemin, la femme lui aurait proposé de finir de régler le camion en échange de “certaines faveurs”. Ulcéré, il profite d’un arrêt à un bureau de tabac pour repartir sans elle. Il revend le camion dans la foulée à un ami, mais le camion n’étant pas à son nom, il opère la vente en utilisant le nom du précédent propriétaire.
Le vendredi 12 juillet en comparution immédiate, il répond, sur plainte de la prostituée, de vol avec violence, et faux et usage de faux dans un document administratif. La prostituée affirme qu’il l’a forcée à descendre du camion, coup de poing aidant.
Le tribunal le condamne à huit mois de prison ferme à exécuter immédiatement, tandis que sa compagne hurle son indignation de la décision, avant de se faire évacuer de la salle.
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