Citroën peut ainsi s’enorgueillir d’être parvenu à installer la ligne DS (“Distinctive Spirit”) dans le paysage automobile, sorte de “premium” à la française.
Et il persévère même dans cette voie avec la sortie récente d’une variante Cabrio de la DS3.
À vrai dire, il ne s’agit pas d’un “cabriolet”, mais d’une variante qui ne fait que substituer le toit dur de la berline par un “toit décapotable”, permettant donc de profiter du moindre rayon de soleil !
L’allure du modèle est préservée
La toile à double épaisseur se replie entièrement vers l’arrière en 16 secondes chrono, même en roulant jusqu’à 120 km/h. Et son mécanisme électrique l’arrête sur trois positions, la dernière la reculant au maximum. Dans tous les cas, l’ambiance de bord prend des airs de vacances, tout en évitant les inconvénients des vrais cabriolets, aux côtés dégagés. Ici, hauts de portes et montants restent en place pour garantir un confort supérieur, avec une meilleure maîtrise des remous pour éviter d’être décoiffé. Le tout avec une rigidité de caisse quasi-égale à celle de la berline.
Mais en contrepartie, le coffre perd 40 litres, et son ouverture s’avère aussi plus étroite qu’en berline du fait de l’implantation de renforts salutaires. Sa capacité de 245 litres reste toutefois correcte. Pouvant accueillir 5 passagers, la Cabrio sauvegarde d’ailleurs peu ou prou la fonctionnalité originelle de la 3 portes.
Côté technique, elle en reprend une partie des motorisations (essence de 82, 120 et 155 ch, diesel de 90 ch) et l’architecture générale. Avec un écart de prix allant de +2 300 € à +3 150 € selon les versions.
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