“Nous aurons environ 250 oiseaux d’une cinquantaine d’espèces différentes, répartis entre les quatre volières, chacune étant dédiée à un continent”, explique Bruno Nouali, le président de l’Oiseau Club de Petit-Quevilly qui gère les lieux. “Nous ferons tourner les collections d’oiseaux afin que les gens puissent découvrir de nouvelles espèces”.
Conservatoire des poules normandes
Les volières se partagent les lieux avec la mini-ferme pédagogique, installée auparavant boulevard Charles De Gaulle. Celle-ci est peut-être moins exotique mais tout aussi appréciée par les enfants. Les perruches et autres perroquets auront donc pour voisins des poules, canards, oies, lapins, chèvres naines et même des poneys. En déménageant, la ferme gagne un galon : elle devient un conservatoire des poules de race normande. L’essentiel des vieilles espèces avicoles normandes seront là, de la Lemerlerot à la Caumont en passant par la Pavilly, la Gournay, ou encore la Dampierre. On y trouvera aussi l’oie de Bavant, la plus ancienne race, reconnaissable à son pompon sur la tête.
Cerise sur le gâteau : l’Oiseau Club de Petit-Quevilly va mettre en place une couveuse. “Les enfants pourront voir naître les poussins et les voir grandir”. Les bénévoles de l’Oiseau club ne manquent pas de projets. Des expositions liées à la nature prendront place dans les locaux du Jardin. “Nous prévoyons déjà d’y organiser des ateliers avec une association de bonzaï et de faire venir un apiculteur avec sa ruche vivante”, conclut, enthousiaste, Bruno Nouali.
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