Sur les 448 ex-salariés de la raffinerie concernés par ce plan social, 72 ont retrouvé un emploi, dont 41 en CDI, et 73 se sont vus proposer la retraite ou une solution de pré-retraite. Par ailleurs, 57 ont été recrutés en CDD pour accompagner la mise en sécurité et la fermeture du site.
En incluant ces derniers, il reste donc 303 salariés à reclasser. Le cabinet Anveol a été choisi par les services de l'Etat pour leur trouver un emploi. Celui-ci disposerait d'une "bourse à l'emploi" de 1 258 offres dans toute la France, dont 558 dans la région. Parmi elles, 248 sont issues des filières pétrolière, chimique ou industrialo-métallurgique.
Trois intérimaires en question
Quant aux trois intérimaires réclamant d'être intégrés au PSE, et dont deux ont décidé de mener une grève de la faim devant la raffinerie, Pierre-Henry Maccioni, préfet de Seine-Maritime, a assuré avoir demandé au Pôle emploi de leur trouver un travail. Selon lui, l'organisme leur aurait déjà fait deux propositions, qu'ils auraient déclinées. En outre, tous les trois sont pris en charge par le cabinet Anveol.
Le PSE de Petroplus Petit-Couronne bénéficie d'une enveloppe comprise entre 90 et 100 millions d'euros.
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