La veille, Nicolas Sarkozy avait rétréci la marge de manoeuvre de Fillon, en enjoignant au gouvernement 'de s'assurer que les sinistrés de la tempête Xynthia ne seraient pas autorisés à rentrer chez eux si leurs logements sont situés dans des zones dangereuses”. Manière de rembarrer ceux qui venaient de manifester leur refus de quitter leurs maisons.
Plus de 1 500 logements sont donc voués à la destruction dans les zones noires : celles qui présentent un danger de mort avéré. Mais les méthodes pour délimiter les zones noires sont contestées : des habitants veulent attaquer l'Etat en justice pour empêcher la destruction de leur logement.
Brice Hortefeux déclarait le 11 avril que le principe des zones noires ne serait pas remis en cause, tout en reconnaissant que certaines situations individuelles pourraient être réexaminées. Sarkozy l'a désavoué. De même que le secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, président du conseil général de Charente-Maritime, qui souhaitait l'ouverture d'une concertation.
Plus de 1 500 logements sont donc voués à la destruction dans les zones noires : celles qui présentent un danger de mort avéré. Mais les méthodes pour délimiter les zones noires sont contestées : des habitants veulent attaquer l'Etat en justice pour empêcher la destruction de leur logement.
Brice Hortefeux déclarait le 11 avril que le principe des zones noires ne serait pas remis en cause, tout en reconnaissant que certaines situations individuelles pourraient être réexaminées. Sarkozy l'a désavoué. De même que le secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, président du conseil général de Charente-Maritime, qui souhaitait l'ouverture d'une concertation.
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