Venus de différents centres pénitentiaires, et encadrés par douze personnes de l'administration pénitentiaire, l'heure est à la fierté après cette dernière étape. "Le but c'est le dépassement de soi, la cohésion entre les détenus et le personnel", décrit Isabelle Pierre, chef de projet au Comité régional olympique et sportif. Comme le raconte Samy, éducateur sportif au centre pénitentiaire d'Argentan "c'est une vraie aventure humaine, les détenus vivent avec nous en collectivité, c'est un parallèle avec ce que peut être la vraie vie".
Il a rejoint la course pour la dernière étape après la chute d'une encadrante. "Ils ont dû accepter les forces et faiblesses des autres alors qu'ils ne se connaissaient pas forcément", ajoute-t-il, "autour d'un objectif, ils ont su se souder pour réussir." En effet, un détenu s'approche, "on remercie les entraîneurs et le personnel parce que sans eux on y serait jamais arrivés".
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