9 heures : comme tous les deux jours, Elise se rend aux serres de l'université, en plein cœur du Campus 1. Que ce soit en week-end ou à Noël, la thésarde doit consacrer sa matinée à contrôler les plants de colza qu'elle y fait pousser. "Chaque expérimentation dans les serres coûte très cher. Et si quelque chose rate, on peut perdre 3 ou 4 mois", explique Philippe Lainé, directeur adjoint du laboratoire.
Elise partage cet espace, sous les néons orange, avec d'autres étudiants du master "Sciences du végétal", qui étudient l'impact de tel ou tel nutriment sur les plantes, pour "trouver les nouvelles pratiques de culture agricole, améliorer le rendement ou la qualité".
"Ce qui est appréciable, c'est de suivre tout le processus de A à Z, relève Elise. On fait pousser les plantes en serre, on les récolte pour faire des essais dessus en laboratoire, et on s'en sert à terme pour faire évoluer les cultures en champs. Et en plus, travailler en serre, ça détend !".
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