Une démarche entreprise après la publication, lundi 17 juin des chiffres de la surpopulation pénale. A Caen, la maison d'arrêt est à 240% de sa capacité d'accueil initiale. Les détenus sont parfois jusqu'à trois ou quatre par cellule alors que conformément aux normes européennes, les cellules devraient être individuelles. "On leur met un matelas dans coin", explique Philippe Devique, surveillant et secrétaire régional de l'UFAP.
Au coeur de la mobilisation également : la sécurisation des établissements pénitentiaires et les effectifs en personnel.
Bonus audio : Philippe Devique, surveillant et secrétaire régional de l'UFAP.
A la maison d'arrêt de Caen, les surveillants bloquent l'entrée
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