D'ici au 14 septembre, date prévue de l'inauguration de la future artothèque, les œuvres devront être emballées et transportées par les équipes de la Ville. Toutes ? Non. "Sur les 2 000 tableaux contemporains que l'artothèque possède, seuls 400 sont encore dans nos locaux", relève Marie Leloup, la chargée de communication. Les autres pendent aux murs des abonnés de l'artothèque.
Exceptionnellement, les particuliers comme les collectivités ont été invités à emprunter des œuvres sur tout l'été, évitant ainsi plus de logistique. Et tout semble réglé comme du papier à musique. "On prépare cette opération depuis deux ans. Alors trier, ranger, jeter... C'est presque un déménagement commun. Le plus dur, ce sera plutôt l'emménagement". Les cartons devraient quitter l'Hôtel d'Escoville début juillet.
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